• Hier, au critérium de Notre Dame de Mont en Vendée, avec Nicolas BAUBRY, nous avons loupé la bonne échappée (15 coureurs) qui est partie quasiment dès le départ. C'est dommage, car je me sentais bien. Alors faute de pouvoir envisager revenir sur l'échappée, nous avons multiplié les attaques afin de nous endurcir et prendre du rythme.

    En ce moment, je suis un peu inquiet car j'ai une forte douleur dans le haut de la cuisse qui n'a rien à voir avec la maladie. C'est surprenant, je ne ressens aucune gêne sur le vélo, mais c'est douloureux dans la vie quotidienne. Je vais solliciter mon kiné afin de faire un état sur cette blessure.

    Ce matin, j'ai fait un petit décrassage sur le remblai de LA BAULE et cet après-midi, j'ai pu profiter du soleil en famille. C'est cool ...

    Bonne semaine à tous.


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  • Samedi, je fais la course de Notre Dame de Mont en Vendée, avec Nicolas BAUDRY.
    Ce sera mon retour à la compétition après mon podium en Bretagne, il y a quinze jours.
    J'espère que nous pourrons faire aussi bien.

    En ce moment, je n'ai pas trop de douleurs. Je suis juste très fatigué car j'ai fait ma piqûre en début de semaine.
    D'ici samedi, les batteries seront rechargées... affaire à suivre !

     


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  • Ce week-end lors de la course en ligne Ste LUCE – ROCHE BLANCHE (44), Stéphane BOURGOUGNON a encore fait un festival, comme il sait si bien le faire …..
    200 coureurs ont pris le départ de cette course très mouvementée.
    Stéphane était comme toujours très motivé, d'autant plus,  qu'il n'a jamais fini au delà de la 10ème place lors de chacune de ses participations.
    Au cours de cette édition 2014, il n'a pas été épargné par la malchance.  Il a tout d'abord été victime d'une lourde chute. Il a vraiment fait un beau "soleil".  Il s'est relevé avec des douleurs et des  blessures superficielles, mais les nerfs, l'on fait repartir.
    Quelques kilomètres plus loin, il doit à nouveau mettre pied à terre sur un incident mécanique dû à cette chute. Les voitures suiveuses des autres clubs le dépassent sans lui porter assistance,  ce qui le met dans une colère bleue. Il repart donc  très attardé, le couteau entre les dents.
    Il s'en suit pour lui une longue poursuite avant de rejoindre le peloton.
    Par acharnement, il prend quant même  la bonne échappée de 10 coureurs et va ainsi chercher une très belle 5ème place, malgré toute sa dépense d'énergie. 
    Que dire de plus : respect pour cette ténacité !

     


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  • Après l'euphorie du week-end dernier, j'ai passé une bonne semaine.
    Lundi, j'ai juste fait une petite heure sur Home-trainer pour faire tourner les jambes et éliminer les toxines.
    Mardi et mercredi, mes voûtes plantaires et mes mains étaient gonflées au réveil. J'avais donc quelques douleurs car cela exerçait une pression supplémentaire sur l’inflammation de mes articulations.

    Mon remède dans ce cas de figure : je pose mes pieds sur une poche de glace au cours de chaque repas et cela suffit à limiter les gonflements. C'est simple et très efficace. J'adopte d'ailleurs ce protocole durant toute la période estivale. Ce qui me permet de pouvoir marcher à peu près normalement.    

    Mercredi : 100 kms avec les coureurs du club. J'étais très bien avec d’excellentes sensations.
    Jeudi : 125 kms avec une vingtaine de coureurs. Les sensations sont différentes. Il ne faut pas s'emballer. La condition arrive mais il faut encore travailler.
    Que c'est dure et exigent le vélo ! 

    Au programme du week-end, pas de compétition car je travaille.
    Bon week-end à vous.


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  • Quel bonheur !
    Comme beaucoup de coureurs, je fais du vélo pour vivre ces moments privilégiés. Au delà de l'aspect purement sportif, être sur un podium est pour moi, très important, car lors des interviews, j'ai toujours un message à faire passer en faveur de la lutte contre les spondylarthrites.
    J'attendais ce podium depuis plus d'une année, alors le voir arriver dès le début de la saison 2014, c'est une grande satisfaction. Maintenant, il me reste encore deux marches à gravir pour être tout à fait comblé.

    Avant de vous parler de ma course et de mes sensations, je voudrais remercier Stéphane BOURGOUGNON. Ce podium, c'est un peu le sien. Nous avons travaillé durement ensemble cet hiver et nous récoltons les fruits de nos efforts. Merci à toi, Stéphane.

    Dimanche, tous les voyants étaient au vert pour réussir. Il faisait beau et chaud, les jambes étaient bonnes et en plus, j'avais une très grande confiance en moi. Je savais que j'allais faire un truc.

    Au réveil, un peu d'ankylose mais le déverrouillage s'est vite opéré. Avant de prendre la route, un peu de baume chinois sur mes articulations (genoux – hanches et zone sacro-iliaque).
    En arrivant, sur le circuit, je découvre un parcours vallonné et très sélectif. Je suis ravi. Il me convient parfaitement.

    Le départ est rapide (nombreuses échappées) et à la mi-course, nous partons à deux. Je connais parfaitement le coureur qui m'accompagne. Il participe régulièrement au championnat de France Gendarmerie avec moi. C'est un excellent puncheur-rouleur. Mais, il est un peu rétissant pour partir d'aussi loin de l'arrivée. Je lui dit que je ne veux attendre personne et que « c'est parti ». Quelques kilomètres plus loin, nous recevons le renfort de deux autres coureurs et cette fois-ci tout le monde se livre à fond. Nous devons fournir beaucoup d'effort mais c'est la bonne échappée.
    A l'amorce du dernier tour, dans une montée rapide, nous perdons un coureur, nous sommes plus que trois, mais, je suis un peu moins bien. Par la suite, c'est la guerre des nerfs car nous voulons tous gagner. L'arrivée est proche, nous sommes dans la montée finale et dans le dernier kilomètre, nous subissons l'attaque du jeune coureur de 18 ans qui nous accompagne. Je réponds malheureusement avec un temps de retard à cette attaque et je ne suis jamais en mesure de pouvoir le remonter. Je craque finalement au 300 mètres. Ce sera donc une troisième place mais c'est encourageant pour la suite ...

    Lundi matin : je suis fatigué, mais je n'ai aucune douleur et j'ai un bon moral.
    Bonne semaine. 


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  • Juste un petit article pour vous dire que je viens de faire mon premier podium de la saison.
    J'ai fait 3ème à LA CHAPELLE CARO (56).

    Je mettrai un article plus complet demain, car ce soir, je n'ai pas beaucoup de temps libre.
    Je suis content !

             

     


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  • Lundi matin, j'ai repris le travail avec une violente poussée dans la zone sacro-iliaque. La douleur était trop forte et j'ai du reprendre un AINS le midi pour me soulager un peu. En soirée, grâce aux mains expertes de mon kiné et ses soins antalgiques, la douleur a bien diminuée.

    Aujourd'hui, je vais beaucoup mieux, mais  il faut être vigilent et  poursuivre les soins.
    J'espère retrouver la forme rapidement car le week-end prochain, je vais faire la course de LA CHAPELLE CARO (56), avec Nicolas BAUBRY.

    Bonne semaine à tous.

     


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  • Vendredi  :  j'ai fait une grosse séance d'intensité avec Stéphane BOURGOUGNON.

    Samedi matin : comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous, moment de détente et changement de rythme. J'ai commencé par faire une 1 heure avec Sébastien (mon frère) et Maxence (mon petit neveu).  C'est toujours sympa de pouvoir partager ces moments privilégiés. A la suite de cette phase de récupération, j'ai prolongé ma sortie avec  2 heures en solitaire, dans les bosses de la forêt de Bercé : pas de voiture, pas de bruit, (harmonie totale avec la nature).

    Dimanche matin : je rajoute 60 kms (en souplesse), afin d'atteindre 520 kms d'entrainement  pour cette semaine de vacances. Maintenant, la préparation hivernale est pour moi terminée, place à la récupération.  J'espère que tout ces efforts seront rapidement récompensés.

         


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  • Mes sensations en cette fin de semaine de vacances.
    Je me sens très bien. J'ai pu dormir - récupérer - souffler et me régénérer.
    La pression et le stress du travail (même positives) n'étant plus au rendez-vous de mon quotidien, je vais beaucoup mieux. Il est indéniable que le stress  joue énormément sur le développement des douleurs, mais il est important de continuer à travail (financièrement et socialement).

    Lundi : Bonne surprise, j'ai peu de douleur.
    En début de soirée, j'ai fait mon injection d'HUMIRA.
    Conseil pour les malades : Je fais toujours mon injection en soirée, avant d'aller me coucher afin de ne pas trop subir les effets néfastes de l'injection. Il m'est arrivé une fois de faire mon injection le matin et j'ai été très mal toute la journée.
    A la suite de cette injection, généralement je suis très fatigué pendant 4 à 5 jours. Mais là, étant en vacances, je n'ai pas trop perçu cette sensation. 

    Activité vélo de la semaine :

    Mardi : 80 kms sous la pluie. Quelle galère !
    Mercredi : 100 kms sous le soleil. Quel bonheur !
    Jeudi : 120 kms sous le soleil. Génial !
    Aujourd'hui, je vais rouler avec mon ami Stéphane BOURGOUGNON. Il fait toujours beau. C'est agréable de pouvoir rouler dans ces conditions.
    Ce week-end, pas de compétition, car je  rentre en week-end familiale en Sarthe et mon emploi du temps ne me le permettra pas.

    Bon week-end à tous sous le soleil ….


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  • Ce matin, ma zone sacro iliaque est sensible mais pas douloureuse. Par contre, les douleurs ont migré sur ma hanche droite. Ce n'est pas trop grave. Un peu de baume chinois, pour réchauffer et anesthésier cette zone sensible.

    A 14 h 30, au départ, la pluie vendéenne est au rendez-vous.
    Pas cool !

    Il va falloir passer en mode "guerrier kamikaze".

    J'avais décidé de rester au chaud dans le peloton pendant 40 kilomètres.  Nicolas BAUBRY quant à lui se chargeait de prendre la première échappée. La tactique a été  respectée et Nicolas s'est retrouvé dans la bonne échappée. Il termine 6ème. Moi, je suis sorti avec un groupe de 4 coureurs, mais il était trop tard. Je fini 14ème.  

    Ce n'est pas grave car j'avais de supers sensations. C'est bien le vélo quand on ne subit pas la course….   


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  • """Le courage prend des formes multiples. Il y a le courage physique et le courage moral. Mais il y a aussi une forme supérieure de courage, celui de braver la douleur, de vivre avec elle, de la taire à autrui et de trouver la joie de vivre malgré tout; celui de se lever le matin avec la perspective enthousiasmante de la journée qui nous attend."""
    H. Cosell.


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