• Cet après-midi, la tempête a eu raison de mon courage.
    Le départ avec les coureurs du club était prévu à 14 h30. Je suis pourtant parti à 13 h 00, pour rallonger cette sortie de club, mais le vent fort et la pluie incessante, m'ont contraint à rentrer au bout de 40 kms. Je n'ai pas voulu prendre de risques car c'était à mon sens  un exercice d'équilibriste inconscient.

    En résumé, avec l'âge,  je commence à m'assagir.
    J'espère que demain, il y aura une petite accalmie.

    Ce soir, juste pour sourire, une petite blague :

    3 hommes se posent une question.
    Quelle est la chose la plus rapide au monde ?
    L'un dit :
    - Moi, je dirais que c'est la pensée, puisque la pensée est immédiate.
    L'autre dit :
    - Moi, je dirais que c'est la lumière car il est prouvé que rien ne bat la vitesse de la lumière.
    Et le dernier dit :
    - Moi, je dis que c'est la diarrhée, parce que quand tu as la diarrhée, t'as même pas le temps de "penser" ni d'allumer la lumière que t'es déjà dans la merde !!!


    votre commentaire
  • C'est un grand Ouf de soulagement ….

    Je dois dire que j'étais très inquiet car la réparation était délicate.
    C'est donc une très bonne nouvelle.
    Je suis pleinement satisfait car la réparation  a été réalisée rapidement et elle n'a eu aucune conséquence sur ma préparation physique.  Je vais pouvoir, si le temps le permet, reprendre une sortie sur route dès demain après-midi.

    Donc, un GRAND MERCI aux mécaniciens  du magasin de cycles BIKE EARTH situé 18 Route de Cran Neuf  à SAINT NAZAIRE (44). Et tout particulièrement à Aurélien, pour sa compréhension et sa réactivité.

    Dimitri, je suis fier de te compter parmi les partenaires de notre club le MONTOIR ATLANTIQUE CYCLISME.

    Je profite de l'occasion pour vous recommander BIKE EARTH sans aucune réticence.
    Venez découvrir dans ce magasin  les cycles route  - VTT et les accessoires,  notamment de la gamme Look - Trek et Scott.

    Bonne visite.

     


    votre commentaire
  • Ce matin, l'entrainement de club a été réalisé avec un vent violent, de la pluie et des averses de grêles.
    Que du bonheur !

    J'ai quand même pu faire 140 kms, mais les sensations n'étaient pas très bonne. Je n'avais pas de force.

    En plus, cet après-midi en nettoyant mon vélo, j'ai  constaté que la patte de mon "dérailleur-avant" était en train de se désolidariser du cadre. Les rivets ne tiennent plus. Ce n'est pas cool à 15 jours de  la première course.

    Du coup, j'ai dû déposer mon vélo en urgence au magasin de cycles BIKE EARTH à ST NAZAIRE. Les mécanos sont très bons et j'espère qu'ils pourront m'apporter une solution très rapidement. Je compte beaucoup sur eux !

    A suivre… pour pouvoir reprendre la route au plus vite !

     


    votre commentaire
  • Ce matin, la tempête était passée, mais le vent était encore très fort.
    Au court de la matinée, j'ai reçu un message de Stéphane BOURGOUGNON qui m'a particulièrement touché. Il me disait que ce matin, il avait pris son vélo pour aller rejoindre son lieu de travail.  Il a dû lutter seul face au vent et à un moment il ne pouvait quasiment plus avancer. Il a faillit faire demi-tour, mais n'a pas cédé.
    Pourquoi ?
    Il m'a écrit qu'il  s'était remémoré ce que j'écrivais sur mon blogg et il s'est dit que, pour ma part,  je n'aurai jamais fait demi-tour".
    C'est beau ….
    Qu'il est courageux !
    et que cela fait plaisir à lire …

    Sa phase de préparation physique hivernale va  bientôt toucher à sa fin et dans quelques jours,  il sera au départ de certaines étapes des plages Vendéennes.  Il est donc dans l'état d'esprit suivant : 
    La rage de vaincre !
    Alors, un petit clin d'œil pour lui.

    Montez le son et cliquez sur la vidéo ci dessous …..


    votre commentaire
  • Avec l'expérience, on arrive plus facilement à surmonter les moments de déprime réactionnelle  liés  à la maladie. Mais, c'est toujours compliqué de trouver une bouée de secours qui nous permette de remonter à flot ! 

    Je viens de sortir d'une période de 15 jours difficiles. Ce déclic, c'est produit ce midi, grâce à mon ami François LAMIRAUD. J'ai eu besoin de son soutien et il a su trouver les mots justes pour me redonner envie de me battre.

    Le soutien entre malade est primordial. Car,  même avec la meilleure volonté du monde, personne ne peut imaginer notre combat quotidien dans le silence.

    Bref, c'est reparti …. Alors, merci François.

    Dans  la rubrique MES LIENS, vous trouverez le lien pour accéder à son blog et son site de ventes par internet  VELOPUISSANCE : c'est l'occasion de profiter des soldes VP.

    De nouveau, moi aussi, je peux dire que  """Le vélo c'est rigolo ..."""

     


    votre commentaire
  • Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur la maladie, je vous invite à cliquer sur le lien intitulé
    "La S.A : c'est quoi ? " qui se trouve dans la rubrique MES LIENS (partie droite de la page).

    Bonne lecture !


    votre commentaire
  • La spondylarthrite ankylosante est une maladie inflammatoire chronique qui touche les articulations du bassin et particulièrement le bassin. Elle fait partie des spondylarthropathies, terme général qui englobe de nombreuses autres maladies comme le rhumatisme psoriasique, les maladies intestinales inflammatoires chroniques et certaines arthrites juvéniles chroniques. De plus, d’autres organes différents de l’appareil locomoteur, comme l’œil, peuvent être touché et d’autres symptômes peuvent être observées comme les arthrites réactionnelles, les tendinites, les douleurs au talon ou de la paroi thoracique.

    La prévalence minimum de la spondylarthrite ankylosante s’élèverait à 92 000 patients et elle pourrait atteindre 175 000 patients soit 0,19% à 0,36% de la population française. II existe un terrain génétique de prédisposition aux maladies rhumatismales, marqué par la présence de l’antigène HLA B27, présent chez 90 % des sujets atteints par la maladie. Ce dernier n’étant présent que dans moins de 10 % de la population normale, ce qui témoigne d’une prédisposition héréditaire. Toutefois la cause en reste indéterminée et la plupart des personnes ayant ce groupe HLA ne seront jamais atteintes par la maladie. Les chercheurs commenceraient à définir d’autres facteurs génétiques de prédisposition. Les gènes suspectés sont multiples, impliqués à la fois dans la survenue de la maladie et dans sa gravité.

    L’évolution de la SA est marquée par des poussées douloureuses et inflammatoires de la colonne vertébrale et d’une réduction progressive de la mobilité du rachis et du thorax. La maladie débute le plus souvent entre 20 et 40 ans. Des études récentes montrent la SA touche autant d’hommes que de femmes contrairement aux idées reçues qui laisseraient entendre que cette pathologie à une forte prédominance masculine. La spondylarthrite chez l’enfant n’est pas rare puisque 15 à 20 % des spondylarthrites débutent avant l’âge de 16 ans. La maladie débute alors autour de 10-12 ans et touche d’abord les articulations périphériques : pieds et genoux, puis les hanches.

    Les symptômes révélateurs dans la forme avec atteinte axiale sont souvent des douleurs nocturnes avec un dérouillage matinal et une gêne à la mobilisation de la colonne vertébrale. Les douleurs adoptent un rythme particulier, de type inflammatoire, avec une sensation de brulures très importante, qui les distingue des douleurs de dos mécaniques. Elles apparaissent dans la deuxième moitié de la nuit et peuvent entraîner des réveils nocturnes. Elles persistent au lever et s’accompagnent d’une sensation de raideur qui cède après un temps variable (dérouillage matinal). Au cours de la journée, les douleurs s’estompent et réapparaître vers le soir, avec une fatigue très importante. Contrairement aux lombalgies liées à un surmenage de la colonne, elles ne s’améliorent pas avec le repos. En revanche, elles sont bien calmées par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).


    votre commentaire
  • Avant de passer sous biothérapie, je souffrais le martyre. Je ne pouvais quasiment plus marcher ni me servir de mes mains. Et pourtant, je n'ai jamais cessé de faire du vélo. Parfois, mon épouse a dû insister lourdement pour m'inciter à sortir faire au moins une heure de vélo. Elle savait que j'en avais un réel besoin. En effet, lorsque je montais sur mon vélo, c'était le seul moment de la journée, où je me sentais encore "fort".

    Depuis que je suis biothérapie, je revis et le vélo m’aide à garder une mobilité articulaire et à avoir des muscles toniques qui soutiennent mon squelette. Quand je suis sur mon vélo, j’oublie que je suis malade et je ne pense qu’à une seule chose : profiter de la vie !

    Ainsi, samedi matin, j'ai mis mon organisme à rude épreuve pour lui faire accepter la souffrance.
    Après une demi-heure d'échauffement, me voilà au pied de la côte de l'Enfournerie (montée d'1 km) à ST MARS D'OUTILLE (72). Les connaisseurs apprécieront. Cette côte est redoutée par les coureurs qui évitent de la gravir.

    Au sommet, je peux vous assurer que vous avez évacué toute la tension de la semaine. La tête est vide et il faut qu'elle le soit pour ne pas s'opposer à ce que je vais lui faire subir. J'ai décidé de remonter cette côte à 10 reprises. La troisième montée est difficile, puis l'organisme accepte la contrainte de l'exercice. C'est gagné, la tête a pris le dessus sur le physique. Les montées s'enchainent alors,  presque naturellement.

    Bonne sortie d'entrainement et pourtant, je suis parti avec des douleurs aux voutes plantaires et une fatigue importante.

    """Il faut bouger …"""

    Dimanche matin, j'ai rajouté  2 h 30 de vélo à mon compteur et tout va bien !!!


    votre commentaire